Suzuya - Mort-Vivant

J’attends rien de toi , je n’attend rien d’eux
J’attends rien d' dieu ni rien de personnes
L’ami, tu seras souvent déçu si tu n’as pas compris qu’ici t'es tout seul
Il fait froid , il fait noir
Mais fils de pute croit pas que je frisonne
Ils te traitent comme un chien
Dis-moi pourquoi tu les affectionnes
Et putain je me lève, j’ai encore mal au crâne
Il y a du sang qui a séché sur mes vêtements de la veille
Quel train vit de bâtard
Le goût de la douceur non je crois pas vraiment que je m’en rappelle
Des fois je me dis que j’aimerais sortir de ce trou
Mais on me regarde et on me re tend la pelle
J’ai voulu m’ouvrir ça m’a pris pour un fou
J’étais à deux doigts de m’arracher les veines
Le stress me dévore un peu plus tous les jours
Regarde comment ma peau elle est cheum
J’ai laissé mourir de faim mon amour
J’ai nourri que ma haine et mon seum
Quand personne me regarde , des fois je regrette à en vomir
Des fois je parle aux fantômes , comme s’ils allaient revenir
Et non mon ami regarde-moi dans les yeux tu verras aucune larme ,c’est pas l’envie qui me manque
Mais moi je préfère sortir les dents et les armes
Je sais pas ce que je ressens
Quand je regarde autour de moi et je vois tout qui crame
J’ai confiance qu’en mes tripes
Je ne fais confiance ni aux hommes ni aux femmes
Je me regarde dans le miroir , je regarde mes faux pas que j’efface trop longtemps
Je deviens tout pâle comme si j’avais avalé des bouts de verre et que je m’étais vidé de mon sang
Je te vois creuser en moi mais si tu creuses non ma chère je te promets qu’il n’y aura rien d’attirant
C’est mieux que tu te contentes que je te baise et que tu disparaisses parce que j’ai vraiment la flemme de faire semblant
Je n’ai rien d’autre à t’offrir que des baisers sanglants
Et t’as rien d’autre que la chaleur d’un corps
Tu vas peut-être pleurer si tu vois que je te mens
Mais je me permets parce que je sais que tu es impur
Mais pourquoi tu pleures
Si jamais tu le pouvais je sais que tu ferais encore pire
Mais pourquoi tu pleures comme si tu penser que tu méritais pas de souffrir
Des fois je ferme les yeux , je veux pas les voir s’ouvrir
Et je pense à tous ceux qui voudraient me voir mort
Je cache mes intentions je leur montre qu’un sourire
Un peu maladroit mais ils se douteront de rien
À tous ces fils de pute que je veux voir pourrir , j’ai la mort quand je les vois qui s’amusent au loin
Leur offrir mon pardon ? plutôt mourir que le jour où je les emmènerai avec moi